La fondation Lina Cyr

La Maison des greffés du Québec offre l'hébergement aux patients résidant à l'extérieur de la région métropolitaine de Montréal. Avant et après leur greffe, ce qui sous-entend des périodes pouvant s'avérer assez longues, les patients y sont accueillis dans une atmosphère chaleureuse et sereine. De plus, les patients n'ont pas à assumer un fardeau financier qui risquerait de leur porter préjudice et d'ajouter à leur inquiétude.

Construisons un avenir meilleur pour nos patients en attente d’une greffe.

« Le don d’organe est le plus grand des dons: c’est un don pour que la vie puisse continuer. » Cette citation de Marcel Leboeuf, porte-parole de la Maison des greffés du Québec depuis plusieurs années, illustre bien l’engagement du comédien pour cette cause.Fondée en 1994, la seule Maison au Canada qui offre l’hébergement aux patients en attente d’une greffe ou récemment greffés et à leur famille résidant à l’extérieur de l’agglomération montréalaise. Elle a acceuilli plus de 10 000 personnes depuis sa fondation. La Maison des greffés du Québec est reconnue comme organisme communautaire d’hébergement national par le MSSS.

Pour en savoir davantage sur la maison des greffés et la fondation Lina Cyr ou pour faire un don, cliquez ICI!!

Pour rejoindre la Maison des greffés du Québec :

1989, rue Sherbrooke Est
Montréal, Québec, H2K 1B8

Téléphone : 514-527-8661
Télécopieur : 514-527-8663
Courriel : fondation.linacyr@videotron.ca

Dons d'organe : Les Ontariens pourraient être forcés de se prononcer

OTTAWA-GATINEAU (RC) - Les parlementaires ontariens se pencheront la semaine prochaine sur un projet de loi privé qui vise à augmenter les dons d'organe dans la province. Selon la proposition du député conservateur Frank Klees, les Ontariens devront se prononcer sur le don d'organe s'ils veulent obtenir leur permis de conduire ou leur carte d'assurance-santé.

Le don d'organe resterait un choix personnel et personne n'y serait forcé. Chaque citoyen aurait toutefois à se prononcer clairement sur la question. Selon M. Klees, cela ouvrirait la porte à des milliers de donneurs.

Ainsi, les citoyens disposeraient de trois choix. Ils pourraient accepter de faire don de leurs organes, refuser de le faire ou encore se dire indécis sur la question.

Le projet de loi privé sera étudié en deuxième lecture jeudi prochain. Le député Klees souhaite voir son adoption cette année.

En Ontario, 500 personnes meurent chaque année en attente d'une greffe d'organe. Présentement, 1700 personnes sont en attente d'une greffe dans la province.

(Sur Yahoo.Québec Radio-Canada)